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Carrosserie

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Sources : Salesfactory 2016, INSEE RGP 2013

MAJ : 03/2017

L’activité de carrosserie peinture peut s’exercer en activité principale chez un artisan carrossier, affilié ou non à un réseau, mais également en activité secondaire dans une entreprise des réseaux constructeurs (RA1 et RA2) ou chez un MRA. Il est donc difficile de délimiter nettement ce secteur et de produire des statistiques précises sur la population qui s’y rattache puisqu’il ne possède pas de code NAF. Les professionnels exerçant cette activité sont répartis dans les codes NAF de l’entretien et de la réparation automobile (4520A-4520B) et dans celui du commerce de véhicules (4511Z-4519Z).

Organisation du secteur, ses acteurs

13 000 entreprises proposent une activité de carrosserie-peinture

Le comptage réalisé par l’agence Salesfactory permet d’identifier 13 000 entreprises proposant une activité de carrosserie-peinture (i.e. disposant d’au moins une cabine de peinture) en 2016 : 16 % sont des RA1, 36 % sont des RA2, 23 % sont des MRA et 25 % sont des carrossiers indépendants spécialistes. La répartition numérique entre les réseaux constructeurs (51 %) et les réseaux indépendants (49 %) est relativement équitable.

Synoptique carrosserie

 

60 % des carrossiers indépendants (hors MRA) sont affiliés à un réseau lié, soit, à :

  • un fabricant de peinture tel que Dupont (enseignes Five star et Répanet), le groupe Centaure (enseigne Autoneo) et Akzo Nobel Sikkens (enseigne Acoat selected),
  • des distributeurs stockistes tels que Starexcel (Precisium Carrosserie), Autodistribution (AD carrosserie) et le Groupe AutoUnion (Top carrosserie),
  • un constructeur automobile tel Ixell Carrosserie (Renault),
  • un groupement d’entreprises (coopérative, centrale de référencement, groupe familiaux…) qui affiche une enseigne (102 Carrossier Expert, Carrosserie directe, Axial, Best Repair, Atout carrosserie).

Le poids des réseaux de marque sur le marché de la carrosserie progresse depuis les années 2000. Ces dynamiques de regroupement donnent accès à de l’accompagnement, de l’équipement technique et informatique, de la formation, une signalétique et un plan de communication, une centrale de référencement et/ou d’achat ou encore à des plateformes de gestion de sinistres. Elles permettent ainsi aux carrossiers adhérents d’équilibrer le rapport de force avec les apporteurs d’affaires, de réduire leurs charges et d’améliorer la visibilité de leur activité.

Données générales sur le marché et l’économie du secteur

Un marché en repli, qui se maintient en valeur

L’activité de réparation-collision a connu un repli de 22 % entre 2000 et 2013 (Source : TCG Conseil 2015), dans un contexte général de réduction du SAV auto. Deux raisons majeures expliquent cette tendance :

  • La baisse de la sinistralité liée à l’évolution de la sécurité routière (contrôles, radars), à l’amélioration des réseaux routiers (ronds-points) et au développement des équipements de sécurité active/passive sur les véhicules (ESP, radar de recul, etc.),
  • L’augmentation du nombre de véhicules classés « Économiquement Irréparables » (VEI), qui concerne aujourd’hui environ 11 % des véhicules accidentés (Source : TCG Conseil 2015). Cette procédure est déclenchée par l’expert lorsque le montant des réparations est supérieur à la valeur du véhicule au moment du sinistre (soit, la valeur de remplacement correspondant au prix de revient d’un VO de même type et dans un état semblable). Sa généralisation va de pair avec la croissance des ventes de véhicules d’entrée de gamme (seuil de réparabilité peu favorable aux activités de carrosserie en cas de gros choc) et la hausse du coût des opérations de réparation-collision.

Avec 3,8 millions d’opérations* en 2015 (Source : Étude Conducteurs GIPA 2016), la réparation-collision représentait 6,5% des opérations réalisées en SAV mais 21,3% du montant total des facturations (Source : TCG Conseil).

Ce marché tend en effet à se maintenir en valeur du fait de l’augmentation du coût moyen des opérations (estimé à 1500€ - source : TCG), liée à l’évolution de la conception des véhicules (matériaux aluminium, aciers spéciaux, généralisation de l’électronique embarquée) et aux prix des pièces détachées et des ingrédients de peinture.

* Opérations de réparation déclarées et non-déclarées.

Source : SRA ; opérations couvertes par les assurances

Le marché de la pièce

Ce sont les pièces détachées qui représentent la part la plus importante de la facture. Les pièces de carrosserie sont d’autant plus chères qu’elles n’évoluent pas sur un marché libéralisé : bien souvent concernées par le statut de pièces captives (i.e. pièces visibles du véhicule), elles sont soumises à un droit de propriété intellectuelle et commerciale qui impose leur remplacement par des pièces d’origine sur lesquelles les constructeurs ont un monopole.

Le recours à la pièce d’origine prédomine dans tous les réseaux puisqu’il concerne en moyenne 86 % des pièces posées, bien que les carrossiers se démarquent par un recours plus fréquent à la pièce de réemploi (Source : GIPA Étude Activité Carrosserie 2015).

L’utilisation de pièces recyclées ou dites « de réemploi » fait l’objet d’un décret (n°2016-703) entré en vigueur au 1er janvier 2017, obligeant le réparateur à proposer au consommateur des pièces issues de l’économie circulaire. Démontées et fournies par des centres agréés VHU, elles peuvent concerner les pièces de carrosserie amovibles, les pièces de garnissage intérieur et de sellerie, les vitrages non collés ou les pièces optiques. Elles restent plus couramment destinées à la réparation de véhicules âgés.

Le marché de la peinture

Le marché de la peinture perd en volume (- 5% par an en moyenne depuis 2005 - Source : FIPEC), du fait de la baisse de la sinistralité et de l’évolution de la conception des véhicules. Si l’augmentation des surfaces vitrées et des éléments plastiques a réduit la surface à peindre, l’optimisation des ingrédients et des techniques de peinture a par ailleurs permis de réduire la quantité de produit nécessaire pour une application (pouvoir couvrant plus important, sous-couches teintées, gammes multifonctions permettant de supprimer des étapes dans le process, pistolets et buses limitant le gaspillage, etc.).

Les produits de peinture en carrosserie « nouvelle génération » se veulent ainsi plus performants et plus écologiques (hydrodiluables, réglementation 2004/42/CE sur la limitation des émissions de Composés Organiques Volatils), mais aussi plus chers : en 2015, leur coût a augmenté 3,7% (Source : SRA). En réaction, les ventes en ligne se développent, estimées entre 5 et 10% du marché (Source : J2R Mai 2015).

L'emploi et ses caractéristiques

Concernant la carrosserie, les services de l'automobile comptent 23 750 ouvriers (avec ou sans spécialité peinture) et 4 067 artisans.

Les ouvriers de la carrosserie sont principalement des hommes (99,3 %) embauchés en CDI (96,3 %). Ils sont majoritairement formés au niveau V (67 % détenaient un CAP ou BEP en 2013) mais la progression de la part de salariés disposant d'un bac pro (15 %), au détriment de celle disposant d'un niveau inférieur au CAP, traduit une élévation du niveau de qualification.

Près de deux tiers d’entre eux travaillent dans une entreprise artisanale. L’emploi des carrossiers est plus généralement en diminution (-7,6 % entre 2008 et 2013), particulièrement dans les concessions (-18,5 %). Cette baisse interroge les conditions de pérennisation de l'activité, d'autant que si la moyenne d'âge des ouvriers carrossiers reste jeune (37,6 ans pour 37,3 ans dans la branche), la part de salariés de plus de 50 ans augmente : ces derniers représentaient 17 % des salariés en 2008 contre 22 % en 2013 et 30 % des artisans carrossiers sont âgés de plus de 50 ans. Cette évolution laisse craindre une augmentation du nombre de départs en fin de carrière impliquant un besoin en renouvellement de main d'œuvre. Des difficultés de recrutement sur les profils expérimentés sont d’ores et déjà évoquées par certaines entreprises.

(Sources : RGP 2008 et 2013)

Les facteurs d'évolution

L’activité de carrosserie-peinture tend à se reconfigurer sous la pression de divers facteurs :

  • La conception des véhicules récents (conçus pour se déformer très largement autour de la cellule de vie des occupants) tend à réduire la rentabilité des réparations de gros chocs. En conséquence, la carrosserie lourde (châssimétrie) est de moins en moins pratiquée, au profit de la carrosserie rapide : l’activité vitrage – pourtant concentrée par les centres-autos et les spécialistes – représente aujourd’hui le premier motif d’entrée atelier chez les carrossiers (source : Étude Conducteurs GIPA 2016).
  • La baisse d’activité, liée au repli de la sinistralité, favorise plus largement l’émergence de nouveaux modèles économiques qui s’appuient sur la spécialisation et la diversification des activités (en proposant des prestations hors carrosserie et des services, ou en développant les ventes additionnelles)
Synoptique carrosserie diversification

 

  • Cette diversification des activités se développe dans un contexte marqué par l’évolution des pratiques des consommateurs (exigence de services, arbitrage accru par internet, réduction du budget auto, nouvelles mobilités) : le développement de la relation clientèle devient ainsi une priorité pour proposer des prestations en dehors d’un sinistre. Les prestations « hors assurance » pèsent en moyenne, tous réseaux confondus (constructeurs et indépendants), 28% du chiffre d’affaires des entreprises de carrosserie (source : Étude activité carrosserie 2015 – GIPA).
  • Les relations avec les apporteurs d’affaires (assurances, mutuelles) sont un autre facteur d’évolution de l’activité puisqu’environ 80% des opérations de réparation-collision sont couvertes par les assurances (source : SRA). Les conventions d’agrément garantissent le volume des entrées ateliers en contrepartie de conditions commerciales préférentielles : depuis février 2016, le code du commerce stipule que ces remises accordées par les professionnels doivent obligatoirement renvoyer à une clause volumétrique par laquelle l’assureur garantit une projection de volumes de sinistres (ou de chiffre d’affaires). Ces conventions impactent néanmoins directement les pratiques des professionnels et l’organisation des ateliers en compressant, par exemple, les temps de réalisation pour réduire le montant des réparations. Ce cadre tend aujourd’hui à favoriser le remplacement de pièces au détriment des réparations (souvent réalisables mais plus couteuses en main d’œuvre). En réaction, certains intervenants des réseaux constructeurs développent leur propre assurance-collision (dans le cadre d’un financement ou d’une LOA pour que ces véhicules soient, en cas de sinistre, rapatriés et réparés dans le réseau de la marque). D’autres choisissent de travailler sans agréments (cas de 18% des carrossiers indépendants et de 44% des RA2 enquêtés dans le cadre de l’Étude Carrosserie 2015 du GIPA) et misent sur une communication autour du « Libre choix du réparateur ». Entré en vigueur au 31/07/2016, cet arrêté impose désormais à l’assureur un devoir d’information auprès du client. Si 38% des conducteurs ne vont pas dans le garage préconisé par l’assurance (Source : Étude Conducteurs 2015 – GIPA), cette opportunité implique – pour le carrossier – de capter cette clientèle et la convaincre d’avancer les frais de réparation.

Métiers et formation

Formation

La filière de formation carrosserie compte 12 304 jeunes en formation en 2016/2017, dont 47,8 % d’alternants. Le CAP est le diplôme le plus préparé : il concerne plus de la moitié des effectifs (56 %) et il se prépare majoritairement en alternance (à hauteur de 66 %). En revanche, 82,5 % des jeunes préparant un Bac Pro sont des lycéens (contre 76 % dans la branche), alors même que les métiers de la carrosserie nécessitent l’acquisition d’un geste professionnel qui ne s’acquiert que par la pratique.

Synoptique carrosserie FI

Les effectifs globaux de la filière carrosserie (tout mode de formation confondu) ont connu une forte phase de baisse : -28,3 % entre 2005 et 2015. Cette baisse a moins concerné les effectifs en lycée que ceux en apprentissage (-39,5 % sur la même période), ce mode de formation étant plus fortement dépendant du marché et des fluctuations de l’emploi. En conséquence, à partir de 2010, le nombre de lycéens devient supérieur au nombre d’apprentis.

Source : ANFA, Géode

Néanmoins, depuis la rentrée 2015/2016, les effectifs de formation en carrosserie-peinture repartent à la hausse (+ 6,5 % depuis 2015, tout mode de formation confondu). Cette progression tient essentiellement à la reprise des effectifs en apprentissage (+ 3,5 % en 2015/2016 ; + 8,7 % en 2016/2017) qui traduit la reprise de l’emploi constatée dans l’ensemble de la branche depuis fin 2014.

La progression des effectifs en apprentissage concerne le CAP Réparation des carrosserie (+ 19,5 % depuis 2015) et dans une moindre mesure, le Bac Pro (+ 10 %). L’aide « TPE jeunes apprentis » destinée aux entreprises de moins de 11 salariés recrutant des apprentis de moins de 18 ans a probablement favorisé cette progression du CAP. Selon la DARES, ce dispositif - mis en place au 1er juin 2015 - a largement contribué à augmenter les entrées en apprentissage au niveau V dans les entreprises de -11 salariés du secteur privé (+ 2,6 % en 2015 - source : DARES).

Insertion

Les apprentis présentent un taux d’insertion 2 fois plus élevé que celui des lycéens, pourtant plus nombreux mais disposant d’un savoir-faire moins opérationnel. Le métier de carrossier nécessite en effet l’acquisition d’une dextérité qui ne s’acquière que par la pratique. Un apprenti carrossier a ainsi 4,5 fois plus de chance de s’insérer dans les métiers du CRA qu’un lycéen (source : IVA/IPA 2015).

Ce taux d’insertion des apprentis carrossiers, pourtant en baisse ces dernières années (-7 points entre 2012 et 2014), connait un rebond de 8 points en 2015 et témoigne d’un regain de l’activité des entreprises de carrosserie.

Synoptique carrosserie insertion

Parmi l’ensemble des jeunes issus d’une formation aux métiers de l’automobile (apprentis et lycéens confondus), les apprentis de la filière carrosserie-peinture sont ceux qui s’insèrent le mieux dans les métiers de la branche avec un taux d’insertion de 44,6 %.

Les jeunes ayant suivi une formation carrosserie en alternance (apprentissage ou contrats de professionnalisation/CQP), au plus haut niveau de diplôme (niveau IV) et préparant la double compétence peintre-carrossier, connaissent une insertion professionnelle particulièrement favorable. Les meilleurs taux d’insertion dans le CRA sont présentés par les jeunes ayant préparé un Bac Pro carrosserie-réparation en alternance (59,5%) ou un CQP Carrossier-Peintre (88%).

Qualifications

L’activité carrosserie-peinture comprend 16 qualifications au sein du Répertoire National des Qualifications des Services de l’Automobile (RNQSA) : 10 au niveau ouvriers-employés, 3 au niveau maitrise et 3 au niveau cadre.

Niveau Fiches de la convention collective Échelon Mode d'accès à la qualification (certification délivrée par la branche) Voies d'accès
Ouvrier / employé Tôlier ferreur 3 CQP Tôlier ferreur CP, FC, VAE
Peintre préparateur 3 CQP Peintre préparateur CP, FC, VAE
Mécanicien collision 3 CQP Mécanicien collision CP, FC, VAE
Débosseleur sans peinture 3 CQP Débosseleur sans peinture CP, FC, VAE
Tôlier spécialiste 6 CQP Tôlier spécialiste CP, FC, VAE
Peintre spécialiste 6 CQP Peintre spécialiste CP, FC, VAE
Débosseleur sans peinture spécialiste 6 CQP Débosseleur sans peinture spécialiste FC, VAE
Tôlier confirmé 9 CQP Tôlier confirmé CP, FC, VAE
Peintre confirmé 9 CQP Peintre confirmé CP, FC, VAE
Carrossier peintre 12 CQP Carrossier peintre CP, FC, VAE
Maitrise Réceptionnaire après-vente 20 CQP Réceptionnaire AV du domaine de la CP CP, FC, VAE
Chef d'équipe atelier 20 CQP Chef d'équipe atelier du domaine de la CP FC, VAE
Gestionnaire d'atelier ou contremaître d'atelier 23 CQP Gestionnaire d'atelier / contremaître d'atelier du domaine de la CP FC, VAE
Cadre Cadre technique d'atelier I CQP Cadre technique d'atelier FC, VAE
Adjoint au chef AV / responsable d'atelier II CQP Adjoint au chef AV / Responsable d'atelier FC, VAE
Chef après-vente III CQP Chef après-vente FC, VAE

Tous les CQP ont été rénovés en 2015, suite à la réforme de la formation professionnelle : ils sont tous accessibles en contrat de professionnalisation (CP), en formation continue (FC) ou par la Validation des Acquis de l’Expérience (VAE) (à l’exception des qualifications de niveau cadre, de celle de Chef d’équipe atelier et Gestionnaire/Contremaitre d’atelier uniquement accessibles en FC ou VAE).

Depuis 2013, les techniques de débosselage sont prises en compte comme une méthode de remise en forme des carrosseries. Elles font l’objet de 2 qualifications reconnues au RNQSA et de CQP distincts.

La GRH

  • Les carrossiers et peintres sont recrutés en majorité par les entreprises artisanales (63 %)
  • 75 % des recrutements sont réalisés en CDI (pour 69 % dans la branche) et 97 % des recrutements sont à temps plein
  • 76 % des recrues en carrosserie ont déjà une expérience professionnelle au moment de leur recrutement : ¾ d’entre elles ont fait leur expérience dans le secteur automobile
  • Bien que l’expérience compte, les métiers de la carrosserie recrutent plus de jeunes que l’ensemble du secteur du commerce et de la réparation automobile : 36 % des recrutés en carrosserie ont entre 20 et 24 ans (contre 25 % pour l’ensemble des métiers du CRA).
  • Si le niveau V demeure le principal niveau de diplôme à l’embauche (58 % des recrutements), les jeunes recrues sont plus qualifiées (44 % des moins de 30 ans sont diplômées d’un Bac Pro).

Source : ANFA, enquête recrutement 2015

Évolution des activités et des compétences

Ces 15 dernières années, les ateliers de carrosserie ont fait évoluer leurs compétences au gré des évolutions techniques et de la conception des véhicules :

  • L’introduction des matériaux aluminium, thermoplastiques ou des nouveaux aciers a appelé de nouvelles techniques d’assemblage (soudures, rivetage, etc.) et de redressage, impliquant des investissements en matériel et en formation.
  • La généralisation des éléments électriques introduits dans les véhicules pour augmenter le confort et la sécurité est devenue une contrainte à prendre en compte lors des phases de montage et de démontage des éléments de carrosserie.
  • L’évolution des peintures (hydrodiluables, hauts extraits secs, etc.) a rendu les procédés d’application et de préparation des ingrédients (colorimétrie) plus complexes. Les compétences en peinture ont ainsi évolué vers plus de technicité.

Les nouvelles compétences qui sont aujourd’hui convoquées ou amenées à évoluer concernent la prise en compte de l’environnement électrique, la gestion de sinistre et le développement de la relation clientèle pour asseoir un positionnement commercial permettant de capter des marchés « hors assurance » et/ou « hors agrément ».

Synoptique carrosserie compétences