Secteurs d'activités

Commerce et maintenance de véhicules légers

Retrouvez l'info actualisée sur ce secteur dans le portrait sectoriel

Le commerce automobile de véhicules particuliers

  • Auteur : J. Gombault  (
  • Nbre pages : 8  (
  • Date : 07/2018

Le commerce automobile constitue un secteur stratégique au sein de la branche des services de l’automobile : deux emplois sur cinq en dépendent. La filière s’adapte en fonction de l’évolution de la typologie des acheteurs : plus d’entreprises, des particuliers moins nombreux, plus âgés et mieux renseignés. Les pratiques de fidélisation, des processus commerciaux très codifiés par les constructeurs, de nouveaux produits financiers (LOA) et le développement des contrats d’entretien contribuent à répondre à cette situation. La technologie croissante des véhicules vendus conduit certains réseaux à séparer la présentation des produits, les essais et la mise en main, des activités purement commerciales en créant des postes dédiés.

Récemment rénovées pour répondre à ces évolutions, les formations commerciales mises en place par la branche sont en plein développement. En 2017-2018, l’ANFA a financé près de 2 300 certifications préparées en contrats de professionnalisation pour faire face à un besoin de renouvellement et de création de poste dans le domaine du commerce automobile.

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Prospective 2022

  • Auteur : J. Gombault  (
  • Nbre pages : 16  (
  • Date : 10/2016

Sur la base de travaux prospectifs réalisés en 2008, l’Observatoire de l’ANFA a reconstitué un système statistique complexe organisé autour de l’évolution de l’emploi salarié, de l’évolution de la structure des catégories sociales, des départs en fin de carrière, de la mobilité intersectorielle et des promotions professionnelles. Ce système permet d’élaborer une prospective, selon 4 scénarios d’évolution, des besoins en recrutement que la branche des services de l’automobile doit former et qualifier annuellement.

>> Résumé de l'étude

Ces travaux  permettent de comprendre qu’une politique attentiste n’est vraisemblablement pas suffisante pour retrouver à l’horizon 2022 les niveaux d’emploi et de formation atteints au début des années 2000. Une politique volontariste (scénario Actio), qui favoriserait un renouvellement du parc automobile tout en en réinventant la mobilité des citoyens, pourraient favoriser l’emploi dans le commerce et la réparation automobile.

Archives X

Prospective de besoins en recrutement dans le commerce et la réparation automobile à l’horizon 2015

Auteur : N. Aguettant (Céreq), J. Gombault

Nbre pages : 262

Date : 12/2009

L’observatoire de l’ANFA et le Céreq ont mis en place une prospective des besoins en qualifications pour les services de l’automobile. Elle s’appuie sur les démarches développées par le groupe Futuribles. Elle s’organise en trois étapes : la compréhension des évolutions de l’emploi passé, la mise en place d’un modèle complexe articulant évolution de l’emploi, mobilité professionnelle, évolutions des catégories sociales et départs en fin de carrière et enfin la mise en place de scénarios permettant de borner les évolutions possibles des besoins en qualification.

L’étude révèle des besoins annuels en recrutement externe à qualifier qui se situent selon les scénarios entre 19 000 et 26 000 salariés par an. L’évolution de l’emploi dans le commerce automobile est tendanciellement orientée à la baisse. L’évolution de l’emploi dans l’entretien et la réparation (MRA, Agents) semble croissante mais ne compense pas la baisse de l’emploi dans les concessions.

Les entreprises sans salarié du commerce et de la réparation automobile

  • Auteur : J. Gombault  (
  • Nbre pages : 38  (
  • Date : 03/2013

En avril 2012, l’Observatoire a mis en place une étude exploratoire des entreprises sans salarié du commerce automobile et de l’entretien réparation automobile sur 7 départements français. Cette étude s’inscrit dans le cadre d’une réponse à un appel d’offres du Ministère de l’Écologie du Développement Durable et de l’Énergie.

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L’étude révèle qu’environ 7% des entreprises sans salarié sont des montages juridiques. Parmi les autres entreprises on distingue un quart d’auto-entrepreneurs et trois quarts d’entreprises individuelles et SARL.

L’enquête met en exergue des profils d’entreprise très variés : d’une part des auto-entrepreneurs-garagistes (15% de l’échantillon) qui réalisent plutôt des activités d’entretien à leur domicile et sans contact avec le reste du secteur. Il ne se payent pas ou peu. Certains d’entre eux sont sans doute des exclus du travail salarié. D’autre part des vendeurs de véhicules d’occasion (20% de l’échantillon) avec peu d’expérience professionnelle ou de diplôme automobile. Beaucoup travaillent chez eux.

Outre quelques garages-camionnettes, l’enquête identifie surtout que près de la moitié des entreprises sans salarié sont des entreprises avec des locaux spécifiques, bien installées dans le tissu socio-économique rural. Elles prennent parfois des apprentis et sont bien intégrées dans le secteur du Commerce et de la Réparation Automobile dont elles constituent une bonne partie du maillage territorial.

Acheteurs de VN - Comportements et pratiques d'achat

  • Auteur : E. Dutertre  (
  • Nbre pages : 46  (
  • Date : 08/2008

En 2007, l’Observatoire est sollicité par la direction pour réaliser une étude relative« aux évolutions des comportements des consommateurs et leurs conséquences sur l’acte de vente des véhicules neufs ».Cette étude vise à questionner la pertinence de la formation actuellement dispensée aux vendeurs de véhicules neufs. Elle doit permettre d’apporter des réponses concernant l’adéquation entre les pratiques enseignées et les attentes des acheteurs à l’égard des vendeurs.

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L’étude est le résultat d’un travail réalisé en deux temps. Dans le cadre d’une première phase exploratoire, nous avons réalisé une série d’entretiens auprès de professionnels du secteur. Les analyses proposées dans le cadre d’un groupe de travail composé d’experts du secteur nous ont conduits à réaliser une enquête auprès de 1.000 acheteurs de VN afin de disposer d’informations sur la manière dont le consommateur perçoit l’acte de vente.

Ce travail a notamment mis en évidence qu’Internet est devenu un « médiateur » presque obligé entre l’acheteur et le vendeur. Là où traditionnellement la relation s’établissait directement entre le vendeur et l’acheteur, Internet vient de plus en plus s’immiscer dans cette relation. Face à cette nouvelle configuration, le vendeur est appelé à développer de nouvelles compétences qui visent notamment à intégrer Internet comme un véritable élément du processus de vente et non pas comme un concurrent potentiel.

Fiches récapitulatives 2005 : Réseaux, enseignes et panneaux hors réseaux constructeurs du CRA

  • Auteur : J. Gombault  (
  • Nbre pages : 51  (
  • Date : 05/2005

Ce document recense les réseaux de garages indépendants des constructeurs en 2005, leurs droits d’entrée et royalties, et décrit l’entreprise créatrice du réseau de garage. Il comprend les réseaux de carrosserie, de maintenance, ainsi que les centres autos.

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Ces informations permettent de mieux comprendre la nature des enjeux stratégiques et de chaque tête de réseaux, la complexité de la contractualisation entre un réseau et un garage, le poids de chaque réseau, les raisons de l’arrivée de « réseaux secondaires » de MRA, moins chers et moins dotés en services.

Les groupes de distribution automobile

  • Auteur : M.-H. Delobbe, B. Jacques, A. de la Bassetière, A.-V. Ducamp, L. Erzen, M. Terrasse  (
  • Nbre pages : 42  (
  • Date : 05/2003

Différents points d’étapes sur le phénomène de concentration du secteur de la distribution automobile. Plusieurs thématiques sont ainsi abordées, précédées d’une étude terrain ou d’une enquête : de l’impact des modifications règlementaires à l’évaluation des pratiques de recrutement et de gestion de la formation continue de ces entreprises.

>> Résumé de l'étude

En 2003, les applications concrètes du règlement 1400/2002 n'apparaissent pas évidentes. Le point de vue des acteurs ne permet pas de se faire une idée précise sur l'évolution de la distribution automobile. Il semble que règne un certain attentisme. A court terme au moins, le nouveau règlement ne semble pas menacer le rapport des forces entre constructeurs et distributeurs, plutôt favorable au premier. Le développement effectif du multimarquisme et la suppression de la clause de localisation pourraient à moyen terme modifier les choses.

L’étude terrain réalisé auprès de 9 groupes de distribution montre que si la tendance en matière de concentration est inéluctable, elle reste encore à dominante régionale et familiale. Le rapport de force demeure toujours en faveur des constructeurs et les impacts de la concentration sur l'organisation interne des entreprises restent encore faibles. Toutefois, la mise en place des aspects les plus libéraux de la nouvelle réglementation pourrait accélérer les changements.

Archives X

Les groupes de distribution automobiles

Auteur : V. Chiron

Nbre pages : 6

Date : 12/1998

Les groupes de distribution sont dans une phase importante de leur développement et montrent un fort potentiel d’agrandissement qui est proportionnel à la taille du groupe : plus l’entreprise s’est développée en terme d’établissements et plus elle compte poursuivre ce développement (projet d’extension et de recrutement de personnel). De plus, les groupes se caractérisent par une nouvelle dynamique : la diversification des activités se traduisant par des créations d’emplois (le motif d’embauche n’est pas d’abord le renouvellement de personnel mais la création de poste).

En matière de formation continue, les groupes ont davantage recours au plan de formation, qui est généralement annuel. Les besoins en formation continue portent essentiellement sur les domaines techniques, mais des besoins apparaissent en management : 60 % des chefs d’entreprises expriment des besoins prioritaires en formation à la gestion et au commerce pour les responsables d’atelier. Les besoins apparaissent tout aussi important pour les réceptionnaires et chefs d’équipe.

Les groupes de distribution automobile : stratégies et pratiques de formation

Auteur : V. Chiron, H. Camaret

Nbre pages : 4

Date : 04/1998

Le règlement européen d’exemption 1475/95

Auteur : V. Chiron, H. Camaret

Nbre pages : 4

Date : 10/1997

Le marché de l’automobile

  • Auteur : B. Jacques  (
  • Nbre pages : 26  (
  • Date : 01/2002

Ce dossier dresse un état des lieux sur la composition du parc automobile de 1995 à 2001. Sont évoqués la progression constante du parc, la motorisation croissante des ménages, le vieillissement du parc. Quelques indicateurs sur le marché des véhicules utilitaires, du cycle et du motocycle ainsi que des énergies alternatives y figurent également.

>> Résumé de l'étude

Entre 1995 et 2001, le parc VL a progressé de 11% pour atteindre en 2001, selon les estimations du CCFA, 28,06 millions de véhicules en circulation. En 2000, plus de 80% des ménages étaient motorisés, environ 25% d’entre eux possédaient 2 véhicules, et 4 % d’entre eux détenaient au moins 3 voitures.

Sur l’ensemble des véhicules en circulation, 78% des véhicules étaient utilisés tous les jours ou presque et environ 55% étaient employés dans le cadre d’un trajet domicile-travail.

En 2000, les ménages ont dépensé 202,3 milliards de francs pour l’achat de véhicules, soit une progression de +0,2% par rapport à 99. Cette valeur représente 3,2% de la consommation totale des ménages. L’achat d’un véhicule neuf, représente une part de plus en plus importante. En 1979, le prix d’un véhicule neuf équivalait en moyenne à 5 mois et demi de revenu, et en 1995, le prix d’un véhicule neuf équivalait en moyenne à 8 mois de revenu. Cette augmentation de la part du budget consacrée à l’achat de véhicule a pour conséquence directe le vieillissement de la clientèle du neuf et l’augmentation du marché du véhicule d’occasion.

La distribution automobile

  • Auteur : B. Jacques, M.-H. Delobbe, C. Durel, L. Esquiva, D. Faivre-Pierret, C. Marchand, P. Merel, V. Toutin  (
  • Nbre pages : 28  (
  • Date : 01/2002

Ce rapport dresse un état des lieux des acteurs et de l’évolution de la distribution de véhicules particuliers au regard de la règlementation mise en place. Il précise les structures, le fonctionnement et l’organisation de la distribution de véhicules particuliers en France. Il propose quelques chiffres clés et des indicateurs de tendances,afin notamment de construire une offre de formation adaptée.

>> Résumé de l'étude

La distribution automobile est encadrée par un règlement d’exemption au traité de Rome de 1957. Au travers du premier règlement d’exemption de 1985, la commission européenne va qualifier la distribution automobile de sélective et d’exclusive dans le sens ou les constructeurs choisissent leurs distributeurs et leurs confèrent une exclusivité territorial. Le règlement de 1995 rend possible le multimarquisme sous certaines conditions.

Le règlement d’exemption, en permettant des ententes concurrentielles organisées par le constructeur a autorisé le développement d’un réseau de marque organisé en deux niveaux : le réseau primaire (succursales, filiales et concessionnaires) et le réseau secondaire (agent de marque).

En 2001 force est de constater que les constructeurs poussent les distributeurs à mieux s’implanter géographiquement tout en réduisant leur nombre. C’est ainsi que se sont développés dans un mouvement de concentration de nombreux petits groupes disposant de plusieurs concessions.

Archives X

La distribution automobile - 2000

Auteur : V. Chiron

Nbre pages : 76

Date : 04/2000

Dans un contexte d’accroissement de la concurrence et de ralentissement des ventes, la distribution automobile se restructure : concentration des réseaux, développement géomarketing de groupes de distribution. Les constructeurs encouragent la concentration des réseaux et influencent la réorganisation de la vente automobile.

Dans le domaine du VN se développe la notion d’offre globale qui associe à la vente automobile une vente de services complémentaires (financement, contrat d’assistance, d’entretien, engagement de reprise, assurance...) alors que pour  la vente de VO les conditions de reprises et de revente sont redéfinies au travers d’un label (licence, franchise...).

Au-delà du contexte économique, les métiers de la vente automobile sont impactés par les nouveaux comportements des acheteurs, qui font passer les professionnels de  l’automobile d’une culture industrielle d’écoulement des stocks à une culture de service centrée sur les attentes des clients. En cela le métier de vendeur automobile s’est complexifié. L’analyse des besoins en FC s’est donc développée sur trois aspects principaux.

Le commerce et la réparation automobile - 1997

Auteur : V. Chiron, H. Camaret

Nbre pages : 4

Date : 08/1997